Investir au Cameroun | le choix de l’avenir
Investir au Cameroun | le choix de l’avenir
Investir au Cameroun le choix de l’avenir. Est considérée comme investisseur au sens de la présente loi, toute personne physique ou morale camerounaise ou étrangère, résidente ou non résidente, qui acquiert un actif au titre de l’exercice de ses activités en prévision d’un rendement.
Est considéré comme investissement au sens de la présente loi, un actif détenu par un investisseur, en particulier:
- Comment investir son argent au Cameroun.
- Une entreprise.
- Les actions, parts de capital ou autres participations au capital d’une entreprise.
- Les obligations et autres titres de créance.
- Les créances monétaires
- Les droits de propriété intellectuelle.
- Les droits au titre des contrats à moyen et long terme notamment les contrats de gestion, de production, de commercialisation.
- Les droits conférés par la loi et les règlements notamment les concessions, licences, autorisations ou permis.
- Investir au Cameroun avec moins d’un million.
- Investir dans l’agriculture au cameroun – Investir au Cameroun.
Tout autre bien corporel ou incorporel, meuble ou immeuble, tous les droits connexes de propriété. Investir au Cameroun le choix de l’avenir.
Depuis les années 90, le secteur privé est devenu le moteur de l’économie au Cameroun. En vue de le renforcer, diverses mesures ont été prises notamment l’adoption d’un nouveau code des investissements et la mise en œuvre d’un vaste programme de privatisation des entreprises publiques.
Dès lors, toute personne physique ou morale étrangère, quelle que soit son lieu de résidence, peut entreprendre et exercer une activité économique dans le pays. Elle peut, individuellement ou en association avec d’autres, exercer cette activité, soit sous le régime de droit commun, soit sous l’un des, régimes spéciaux institués par les lois et règlements en vigueur. Dans tous les cas, elle bénéficie de la pleine protection du droit camerounais.
A ce titre, elle reçoit un traitement égal à celui des personnes physiques ou morales camerounaises, dans le respect des dispositions légales et réglementaires concernant l’établissement des étrangers, ainsi que des dispositions des traités et accords conclus par le Cameroun avec les Etats dont ils sont ressortissants.