Investir dans l’agriculture au cameroun – Investir au Cameroun
Investir dans l’agriculture au cameroun – Investir au Cameroun
Investir dans l’agriculture au cameroun – Investir au Cameroun. Quelques petites entreprises sans grands moyens parviennent déjà à produire des liqueurs locale à base de produits les plus insoupçonnés, des jus de fruits en bouteille, du riz local transformé, des pains de gâteaux à base de farines locale des patate, des semoules à base de banane ignames, Plantin, et patates, des huiles des palmistes et autres produits cosmétiques issue de la transformation des aliments camerounaise, du papier à base des nervures de bananier, des médicaments à base de la riche pharmacopée locale, de la charcuterie, des fromages, etc. tous ces produits et bien d’autres, d’une disponibilité encore limitée, enregistrent au franc succès auprès du public camerounais, preuve qu’un vaste marché est ouvert y compris dans la sous-région.
Ce dynamisme des entrepreneurs ruraux devrait stimuler davantage d’investissements étrangers dans le secteur de la transformation des produits agricole locaux, à afin de couvrir la demande locale, et même d’exporter des produits biologiques vers les marchés occidentaux.
A côté de centaines de micro entreprises opérant sans grands moyens il existe quelques Pme qui opèrent notamment dans le domaine des boissons rafraichissantes et de la charcuterie, le gouvernement a développé depuis quelques années des mesures d’appui pour mieux structurer et accompagner financièrement certaines entreprises du secteur, et assurer la promotion des PME de transformation agro-alimentaire des produits locaux de consommation de masse.
- Investir au Cameroun le choix de l’avenir.
- Investir au Cameroun avec moins d’un million.
- Comment investir son argent au Cameroun.
Selon l’organisation des nations unies pour le développement industriel qui parraine ce programme, les études menées sur la compétitivité de l’économie camerounaise, citent comme contraintes majeures à l’essor du secteur agricole les pertes après récoltes qui avoisinent les 30% de la production, à cause du manque d’équipements de conditionnement, de stockage, de séchage ou de transformation sur l’ensemble des chaînes « Produits Agricoles Bruts » et « Produits Agricoles Intermédiaires », ainsi que sur la chaîne des produits conditionnés ou transformés prêts à la consommation encore appelée « Produits Agro-Alimentaires ».
Autant d’opportunités ouvertes tant aux industries de transformations qu’aux opérateurs intermédiaires des segments transport, conditionnement, ou conservation.
